Voilà donc mon premier texte, et je ne voyais pas ce que j'aurais pu vous raconter d'autre que ma toute première fois. Je ne parle pas de
plaisir solitaire, que je connaissais déjà, mais de mon premier rapport sexuel.
Je vis à la campagne depuis toute petite, et je savais très peu de choses sur le sexe. Il faut dire que ce n'est pas le genre de chose dont on discute à table de nos jour, alors à l'époque !
Bref, dans notre village, comme partout, les jeunes, dont je faisais partie, se regroupaient souvent les samedi soirs près de l'église. On passait souvent en revue des jeux comme "Action ou vérité", celui de la bouteille, et avec deux ou trois bières bon marché, la soirée nous parraissait géniale.
C'est à la fin d'une de ces soirée que j'ai eu mon premier rapport. Bien que les choses aient changé (HEUREUSEMENT ! ! !), j'étais à l'époque un peu enrobé dira t-on, puisque je n'avait pas finit de grandir et que j'étais plus petite que les autres filles. Dans notre groupe, il y avait Albert, fils du maire, qui nous reluquait sans cesse. Ce soir là, ayant à sept personnes bu en tout 1 litre de bière, il prétextait être "torché" et ne plus pouvoir se lever. Il m'a donc demandé de rester un peu avec lui, le temps qu'il reprenne ses esprits pour ne pas se faire chopper par ses parents.
J'ai été cruche !
La seconde après que les autres soient partis, il était déjà sur moi, à me dire que j'étais jolie, et qu'il rêvait de moi depuis longtemps.
Là encore, j'ai été cruche !
J'aimais ce qu'il me disait, et je n'ai rien dit quand il m'a demandé de le suivre derrière l'église. Heureusement, le Père n'habitait pas là ! Une fois derrière, à l'abri des regards indiscrets, il a continué son beau discours, un peu pompeux, mais qui sonnait bien pour quelqu'un comme moi qui n'avait jamais connu d'homme!
Je me souviens que le discours s'est soudain arreté, tellement il était concentré pour essayer d'ouvrir mon gilet. Et on s'est retrouvé à attendre betement qu'il y arrive, sans dire un mot. La poitrine libéré (hors de question à l'époque que mes parents m'achetent un soutien-gorge), il m'a peloté et pétrit les seins avec autant de délicatesse qu'un porc qui se jète sur son auge. En y repensant, j'ai la nausée!
Il me faisait mal, mais je pensais que c'était normal, puisque c'était la première fois. Quelle idiote ! Puis il m'a allongé, et il y a encore eu un long moment de solitude pour lui, le temps de comprendre que j'avais une paire de collants sous ma jupe, vu que les soirées étaient fraîches. Comment ça marche?
Il a tout de même réussi à me les enlevé, le tout sans bien sûr voir quoi que ce soit sous ma jupe que je maintenais plaquée contre mes jambes. Eh oui, j'étais pudique ! De son coté, il s'est contenté douvrir sa braguette une fois sur moi.
Je sentais sa "chose" contre moi, et je sentais surtout ses coups de butoirs au hasard, partout sauf là où il fallait. Mais je n'osais pas le toucher pour le guider. A un moment, mes lèvres se sont entrouverte, et sa queue s'est soudain glissé en moi, avec autant de force que les coups précédents. Le choc a été brutal, même si ce n'était pas la première chose qui rentrait dans mon intimité. Sur le coup, j'ai du lacher un petit cri, et l'ayant entendu, il m'a dit: "Ca y est, tu as joui, alors moi aussi je viens!" Et effectivement, j'ai senti quelque chose couler en moi. L'acte a quand même du durer 5 minutes en tout, même si ça m'est apparu comme une éternité.
Il s'est retiré, a rangé son engin discretement et m'a aidé à me relever. Je sentais que la marche jusqu'à chez moi serait un peu douloureuse à cause de ses coups de butoirs sans viser, et ce fut le cas. Par contre, je n'avais pas prévu que je sentirais son sperme s'écouler et tremper ma petite culotte.
Résultat des comptes, on est arrivé devant chez lui, toujours sans un mot, et il 'a dit un truc super romantique du genre: "C'était bien, faudra qu'on recommence!" Lamentable.
Je suis rentré, j'ai pris ma douche pour nettoyer son sperme, et je me suis mise au lit. Le lendemain, j'avais des bleus sur les cuisses tellement il avait été délicat, des courbatures d'avoir été allongée sur le béton derrière l'église et j'étais irrité d'avoir été prise aussi délicatement.
Les jours suivants, forcement, tous les mecs du village voulaient tenter leur chance avec moi, et j'ai entendu des histoires selon lesquelles j'ai hurlé de plaisir pendant de longues minutes, que je l'avais sucé comme une salope, etc. Des délires de mec quoi!
En revanche, et je ne sais pas qui l'a annoncé dan sle village, le bruit a vite couru que ça avait duré 5 minutes et que je m'étais ennuyé ferme! Sa réputation était brisée, comme mon rêve de première fois ! Dommage pour nous deux !
Aujourd'hui j'en ris, mais combien de fois j'en ai pleuré, en repensant à cet abruti quand mes copines me racontaient leur premiere fois, dans des chambres d'hotel avec des bougies.
Heureusement, je me suis rattrapé depuis, et je ne l'ai plus revu depuis qu'il a quitté le village pour faire l'armée!
Je vis à la campagne depuis toute petite, et je savais très peu de choses sur le sexe. Il faut dire que ce n'est pas le genre de chose dont on discute à table de nos jour, alors à l'époque !
Bref, dans notre village, comme partout, les jeunes, dont je faisais partie, se regroupaient souvent les samedi soirs près de l'église. On passait souvent en revue des jeux comme "Action ou vérité", celui de la bouteille, et avec deux ou trois bières bon marché, la soirée nous parraissait géniale.
C'est à la fin d'une de ces soirée que j'ai eu mon premier rapport. Bien que les choses aient changé (HEUREUSEMENT ! ! !), j'étais à l'époque un peu enrobé dira t-on, puisque je n'avait pas finit de grandir et que j'étais plus petite que les autres filles. Dans notre groupe, il y avait Albert, fils du maire, qui nous reluquait sans cesse. Ce soir là, ayant à sept personnes bu en tout 1 litre de bière, il prétextait être "torché" et ne plus pouvoir se lever. Il m'a donc demandé de rester un peu avec lui, le temps qu'il reprenne ses esprits pour ne pas se faire chopper par ses parents.
J'ai été cruche !
La seconde après que les autres soient partis, il était déjà sur moi, à me dire que j'étais jolie, et qu'il rêvait de moi depuis longtemps.
Là encore, j'ai été cruche !
J'aimais ce qu'il me disait, et je n'ai rien dit quand il m'a demandé de le suivre derrière l'église. Heureusement, le Père n'habitait pas là ! Une fois derrière, à l'abri des regards indiscrets, il a continué son beau discours, un peu pompeux, mais qui sonnait bien pour quelqu'un comme moi qui n'avait jamais connu d'homme!
Je me souviens que le discours s'est soudain arreté, tellement il était concentré pour essayer d'ouvrir mon gilet. Et on s'est retrouvé à attendre betement qu'il y arrive, sans dire un mot. La poitrine libéré (hors de question à l'époque que mes parents m'achetent un soutien-gorge), il m'a peloté et pétrit les seins avec autant de délicatesse qu'un porc qui se jète sur son auge. En y repensant, j'ai la nausée!
Il me faisait mal, mais je pensais que c'était normal, puisque c'était la première fois. Quelle idiote ! Puis il m'a allongé, et il y a encore eu un long moment de solitude pour lui, le temps de comprendre que j'avais une paire de collants sous ma jupe, vu que les soirées étaient fraîches. Comment ça marche?
Il a tout de même réussi à me les enlevé, le tout sans bien sûr voir quoi que ce soit sous ma jupe que je maintenais plaquée contre mes jambes. Eh oui, j'étais pudique ! De son coté, il s'est contenté douvrir sa braguette une fois sur moi.
Je sentais sa "chose" contre moi, et je sentais surtout ses coups de butoirs au hasard, partout sauf là où il fallait. Mais je n'osais pas le toucher pour le guider. A un moment, mes lèvres se sont entrouverte, et sa queue s'est soudain glissé en moi, avec autant de force que les coups précédents. Le choc a été brutal, même si ce n'était pas la première chose qui rentrait dans mon intimité. Sur le coup, j'ai du lacher un petit cri, et l'ayant entendu, il m'a dit: "Ca y est, tu as joui, alors moi aussi je viens!" Et effectivement, j'ai senti quelque chose couler en moi. L'acte a quand même du durer 5 minutes en tout, même si ça m'est apparu comme une éternité.
Il s'est retiré, a rangé son engin discretement et m'a aidé à me relever. Je sentais que la marche jusqu'à chez moi serait un peu douloureuse à cause de ses coups de butoirs sans viser, et ce fut le cas. Par contre, je n'avais pas prévu que je sentirais son sperme s'écouler et tremper ma petite culotte.
Résultat des comptes, on est arrivé devant chez lui, toujours sans un mot, et il 'a dit un truc super romantique du genre: "C'était bien, faudra qu'on recommence!" Lamentable.
Je suis rentré, j'ai pris ma douche pour nettoyer son sperme, et je me suis mise au lit. Le lendemain, j'avais des bleus sur les cuisses tellement il avait été délicat, des courbatures d'avoir été allongée sur le béton derrière l'église et j'étais irrité d'avoir été prise aussi délicatement.
Les jours suivants, forcement, tous les mecs du village voulaient tenter leur chance avec moi, et j'ai entendu des histoires selon lesquelles j'ai hurlé de plaisir pendant de longues minutes, que je l'avais sucé comme une salope, etc. Des délires de mec quoi!
En revanche, et je ne sais pas qui l'a annoncé dan sle village, le bruit a vite couru que ça avait duré 5 minutes et que je m'étais ennuyé ferme! Sa réputation était brisée, comme mon rêve de première fois ! Dommage pour nous deux !
Aujourd'hui j'en ris, mais combien de fois j'en ai pleuré, en repensant à cet abruti quand mes copines me racontaient leur premiere fois, dans des chambres d'hotel avec des bougies.
Heureusement, je me suis rattrapé depuis, et je ne l'ai plus revu depuis qu'il a quitté le village pour faire l'armée!
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- : 15/01/2008
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- 17/11/1981
- Je suis une nympho, une épicurienne ou comme vous voulez. En bref, j'aime la vie, le sexe, et je compte partager ma passion !
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