Ma première domination

Par Greta088 - Publié dans : Domination - Communauté : xFantasmesx

Ma première domination

N'allez pas imaginer de suite des chaines, du cuir et tout l'attirail du stéréotype sado-maso. La première fois que je me suis retrouvée dominante, c'était un peu par hasard.

Depuis quelques temps déjà, dans mon petit village, un jeune homme n'arretait pas de me suivre partout. Surement avait-il entendu parler de ma réputation quelque part, mais il semblait surtout très timide et ne m'a pas abordé directement. Un beau jour, c'est un autre jeune du village, plus téméraire que les autres, qui lui est carrement venu me voir pour savoir si je voulais bien apprendre à son copain comment faire l'amour.

Je vous raconte pas à quel point ça m'a énervé, mais vu les idiots finits, je me suis vite laissé tenté, en ayant déjà quelques idées derrière la tête. La semaine suivante, c'était l'anniversaire du jeune homme en question, et pour feter dignement son 18eme anniversaire, je devais le depuceler.

Il ont fait leur petite fete au bar du village jusqu'en début de soirée (ben oui, chez nous le bistrot ferme à 20H ! ) et sont tous arrivés devant chez moi peu de temps après. J'attendais patiemment chez moi en m'occupant de trier mon petit linge. A les voir marcher, ils devaient avoir bu plus que de raison. Ils ont tous encouragé leur copain, et l'ont laissé en plan.

Il a patienté jusqu'à ne plus les voir, puis... rien! Il semblait figer, et malgré la distance, j'avais l'impression qu'il se parlait à lui-même.
Il a visiblement mis du temps pour s'encourager, puisqu'il n'a sonné qu'un quart d'heure plus tard, rouge comme une pivoine. Je suis venu lui ouvrir (toute habillée bien sûr) et je l'ai juste acceuillit avec un "Oui? C'est pour quoi?" qui l'a arreté net. Je me souviendrais toujours de sa tête à, ce moment là, avec une expression entre le mec qui se dit "merde, ils m'ont fait une farce" et celui qui se dit "Zut, c'était bien ici?"
Il a balbutié deux trois trucs incompréhensibles. puis s'est excusé et m'a dit que normalement il avait rendez-vous avec moi, la tête baissé et avec une toute petite voix.

- "Entre, fais comme chez toi, mets tes vetements ici"

Je ne pensais pas à mal en disant cela, puisqu'avec le vent froid dehors, il avait une grosse veste, une écharpe et un bonnet. Imaginez un peu ma surprise, quand ne le voyant pas arriver derrière moi dans le salon, je faisais demi-tour juste à temps pour le voir enlever un magnifique slip d'une horrible couleur verte pomme. Je ne me suis pas décontenancée, et nous sommes passé dans le salon. Reprenant mes esprits, je lui ai alors dit de se mettre dans le canapé, et nous avons commencé à discuté, de chose et d'autres dans n premier temps, puis de moi et de pourquoi il était là. La situation était surréaliste! Au fur et à mesure, je le voyais de plus en plus rouge, et il se tortillait sur mon canapé, les jambes serrées. Je me doutais bien que j'avais du l'émoustiller en parlant de sexe, mais je voulais en avoir le coeur net.

"Ecartes tes jambes, que je vois ta bite."

C'est sortit tout seul, sur un ton délicat mais qui ne laissait pas d'autre choix. Il a alors baissé la tête, comme un gamin pris en faute, et a désserer les jambes. Immédiatement, son pénis s'est dressé, pas très fierement, mais c'était un bon début. Il était loin de pouvoir rivaliser avec mes partenaires habituels, ni en longueur, ni en grosseur, mais s'il fallait s'en contenter, ça suffirait.
La situation n'avait rien de torride, mais elle m'excitait de plus en plus, et je sentais les premiers picotements de plaisir entre les jambes. Je voyais bien qu'il ne bronchait pas et il ferait surement (presque) tout ce que je lui demanderais.

"Leves toi, tournes-toi, serres les jambes et penches-toi en avant. Je veux savoir si tu es propre."

Toujours sans me regarder, il a hésité, puis s'est executé, tout doucement, et je me suis retrouvé avec devant moi un jeune homme de 18 ans, nu comme un vers qui me montrait ses fesses. Apparemment, il avait du prévoir le coup, puisqu'il semblait propre. Par plaisir, je l'ai laissé comme cela quelques instants, qui durent lui paraitre très long, avant de me lever et de me placer derrière lui.
J'aurais pensé qu'il se serait redressé, mais non, il gardait la pose, docilement. J'ai carressé ses fesses, et je sentais à ses contractions musculaires que la caresse semblait lui faire de l'effet. J'ai glissé une de mes mains devant, et du bout du doigt j'ai parcouru son pénis dans la longueur, avant de prendre dans ma paume ses deux testicules imberbes. Je les ai malaxé doucement, un peu à la manière des boules chinoises anti-stress, et lui, il ronronnait déjà de plaisir. Deux trois va-et-vients le long de sa queue ont suffit à lui faire pousser les premiers gémissements de plaisir. De peur qu'il ne jouisse précocement, je me suis occupé avec l'autre main de ses fesses, que je caressais avec de plus en plus de vigueur, les écartant par moment, passant parfois un doigt dans son sillon.
Tout cela sans un mot.

"Allonges-toi sur le canapé."

Il s'est executé, et lorsqu'il a enfin relevé les yeux, j'ai commencé à me désabiller, doucement. Ses yeux étaient grands ouverts et il ne manquait rien du spectacle. Il a découvert mes seins, puis il a vu mes fesses et lorsque je me suis penché, il a aperçu ce qu'il convoitait tant.

Je me suis rapproché de lui, et je me suis mise à califourchon au-dessus de son torse. Il devait avoir une vue imprenable sur ma chatte déjà bien humide, les lèvres s'étant ouvertes en meme temps que mes cuisses. J'ai pris ses mains, et je les ai mise sur mes seins. Il est enfin devenu entreprenant, puisqu'il les a tout de suite pincé, un peu trop fort meme, mais bon, c'est une erreur de débutant, puis caressé. J'ai avancé mon bassin vers sa tête, et il a compris de lui-même qu'il était temps d'utiliser sa langue.

Il s'appliquait pour son premier cunilingus, mais je voulais garder la situation bien en main. Je me suis relevé. Devant son air surpris , je lui ai fait un grand sourire avant de me remettre par dessus lui en 69.

D'habitude, j'aime bien attaquer de suite mon amant avec de grands coup de langues, mais là, je voulais voir jusqu'où il irait. Je me suis contenté de le masturber un peu, avant de replier ses jambes pour acceder à ses fesses. Une chance pour moi, étant un peu plus grande que lui (je sais, je ne suis déjà pas très grande!), j'avais accès avec ma langue à sa périnné sans trop faire de gymnastique et sans m'écarter des caresses que me donnait sa langue.
J'ai sentit un moment d'arret quand je l'ai léché juste entre ses bourses et son anus, mais il n'a rien dit. Quelques mouvement de masturbation et il reprenait de plus belle son cunilingus. Moi je préparait le terrain, et au fur et à mesure, ma salive commençait à couler sur son anus, que je voyais palpiter sous mes yeux. A mon avis, sans cette préparation annale, il aurait déjà jouit depuis longtemps sur mes seins de mes quelques mouvements de mains.

J'ai alors inversé mes caresses, pour le prendre en bouche pour la première fois, pendant qu'en même temps, je glissais un doigt jusque devant son anus. L'approche était parfaite, il ne s'était pas contracté de réticence. J'ai joué avec ma langue à l'intérieur de ma bouche pour lui donner quelques sensations supplémentaires, et j'observais juste sous mes yeux mon doigt commencer à rentrer dans son petit trou. La première phalange passée, j'ai laissé mon doigt en lui, pour mieux reprendre ma fellation.

Avec de long mouvement amples, sur toute la longueur, il lui fallu juste deux petites minutes avant de m'avertir qu'il allait jouir. J'ai recraché son sexe, et j'ai repris l'avancé de mon doigt, ressortant parfois quelques millimetres pour mieux les re-rentrer. Il était très excité, et je sentais les contrations de son anus autour de mon doigt; je le sentais pousser pour faciliter la pénétration.
Il en redemandait, et moi j'étais folle d'excitation.

J'ai accéléré mes va-et-vients dans son fondement, et j'ai repris ma fellation, tout en frottant mon entre-jambe sur son visage, pour m'amener à la jouissance. Lui n'a pu que sortir la langue, en essayant tant bien que mal de comprendre pourquoi maintenant, tout s'accelerait.

Quelques passages de langue sur mon clito, et je sentais que j'avais passé le point de non retour. J'ai sucé et aspiré autant que possible, le doigt enfoncé aussi profondement que possible, jusqu'à ce que je sente les soubresauts de sa queue dans ma bouche, et qu'il hurle sa jouissance.

Je me suis relevé puis rassise devant lui, en laissant couler son sperme mélangé à ma salive sur mes lèvres puis mes seins que je me caressais. L'image semblait lui plaire, mais l'engin était trop au repos pour le manifester. Après toutes ses émotions, il est redevenu mal à l'aise, ne sachant pas apprécier le moment "Après". Il s'est levé, s'est rhabillé, et après m'avoir remercié, s'est en allé rejoindre ses copains.

Moi, il me restait encore suffisamment d'envies pour aller prendre un bon bain avec mon petit canard vibrant.

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