Me revoilà pour une nouvelle histoire où je passe un peu pour une conne. Rappelons juste qu'aujourd'hui je connais deux-trois facette du sexe,
mais qu'à l'époque, je n'étais pas très débrouillarde.
Avec Mélanie et Carla, deux copines du collège, nous discutions souvent de "cul", au sens vulgaire, de ce que nous annonçions avoir fais, vouloir faire et ce que nous ne ferions jamais. Les trois quart du temps, je mentais et je m'inventais des histoires pour paraitre la plus grande... comme les atre d'ailleurs!
Un jour la discussion s'est portée sur les sex-toys, que nous avions découvert auparavant dans un catalogue de vente par correspondance que je ne citerais pas! On a alors discuté de se mettre des légumes: comcombre, courgettes et autres ayant des formes phaliques. Ni une ni deux, le soir venu je farfouyillais dans le bac à légumes pour voir ce qu'il y avait. Les courses avaient dû etre faites quelques jours avant, puisqu'il ne restait plus qu'un demi radi noir et une petite clementine. Entre les deux, le choix fut rapide, et j'ai embarqué discretement la clementine, puis direction la chambre, pendant l'heure où je devais étudier.
J'ai commencé par me satisfaire à la main, en me depechant quand meme pour pouvoir essayer un maximum de chose avec ce fruit. En fait, les choix étaient restreints, et je me suis retrouvée, nues sous ma couette, les jambes relevés et écartés au maximum, la clementine dans une main et l'autre qui écartait au maximum mes lèvres intimes. La position était vraiment obscène, et quiconque serait rentré à ce moment dans ma chambre aurait tout de suite compris ce que je faisais, même avec la couette!
Le fruit n'était pas très gros, et pourtant j'ai eu du mal à le faire rentrer... le manque d'habitude sans doute puisqu'aujourd'hui je joue avec la taille au-dessus. Mais après m'être battue pendant quelques longues minutes, j'ai enfin réussi à la rentrer completement, sentant cette petite chose en moi. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que mes tentatives d'insertion avaient un peu baissé mon excitation, et que mon vagin se recontractait petit à petit autour du fruit. La sensation était douce et agréable, et en faisant de simple petit mouvement, j'arrivais à produire des ondes de plaisir qui irradiaient tout mon corps.
J'ai pris mon pied comme cela quelques temps, jusqu'à la fin de "mon temps d'étude". C'était l'heure du passage à table. Le problème s'est alors posé: comment retiré cette clementine? En lubrifiant et en poussant, ça aurait surement marché, mais là, je n'avait rien sous la main, et pas vraimet e temps d'aller chercher de l'huile en cuisine puis de filer au toilettes, le tout sous le regard de ma mère.
La solution est venues d'elle même: je n'en avais pas! Il fallait que je garde cette petite boule orangé en moi jusqu'après le repas. Je me suis donc levé, et là ça a été terrible. Je sentais cette clementine, avec sa peau granuleuse, faire des va et vients pendant que je marchais. Après une dizaine de pas, j'avais mes premières suées, et je sentais l'excitation remonter. Heureusement, le salon, où nous dinions tous les soirs, était juste en bas des escaliers.
Avec d'infinies précatutions je suis descendue, tout doucement, avec de petits pas. En me voyant comme ça, ma mère m'a alors demandé ce qu'il y avait. J'avais honte, mais j'étais surtout heureuse que personne n'ait compris. J'ai prétexter des coliques, et je me suis installée à table, presque comme si de rien n'était. Le repas s'est passé, et comme chaque soir, mon petit frère mettais la table, je la débarassais et ma mère faisais la vaiselle.
Même "malade", je n'ai pas eu de traitement de faveur, et devant tout le monde, j'ai débarassé comme je pouvais. L'excitation est revenue, et avec elle j'ai sentit le fruit s'humidifier. Dans me hate de venir à table discretement, j'avais juste oublié de remettre ma culotte sous ma robe, et ma première idée fut que la clementine allait tomber devant mes parents, qui ne manqueraient pas de comprendre d'où!
J'ai donc contracté au maximum, augmentant la pression sur mes parois internes, et donc mon excitation. Je sentais ma mouille commencer à perler sur mes levres et mes cuisses. J'étais rouge de honte, extrement excité et courbaturée a à force de me contracter. Ne tenant plus, je me suis excusé et suis sortie de table, prétextant encore des colliques.
Encore ces escaliers à monter... et les suées qui revenaient, présageant que j'allais exploser de plaisir. J'ai juste eu le temps d'arriver dans la salle d'eau, de fermer la porte et de mordre dans un peignoir qui trainait pour étouffer mon cri.
J'ai alors remonté ma robe, écarté un peu mes jambes et la clementine est tombée dans un bruit humide, laissant le passage libre à mes secretions qui coulaient le long de mes jambes. Je suis resté assise le long de la porte un petit moment, avant de reprendre mes caresses à la main... m'ammenant encore jusqu'à un orgasme fulgurant.
Ce soir là, je suis redescendue regarder un peu la télé, et malgré la fait que je gigotait de temps à autre sur le canapé, personne n'a remarqué que j'avais remis la clementine en moi. Ce mélange d'exhibition et de pudeur devant mes parents me rendait folle, et il fallu encore que je me satisfase avant de pouvoir fermer les yeux.
Le lendemain, mes copines ne m'ont même pas cru! Et pourtant !
PS: Petit conseil pour les novices, renez un objet avec un anche, ou alors qui dépasse pour remplacer un gode, pas le premier truc que vous trouvez ! :)
Avec Mélanie et Carla, deux copines du collège, nous discutions souvent de "cul", au sens vulgaire, de ce que nous annonçions avoir fais, vouloir faire et ce que nous ne ferions jamais. Les trois quart du temps, je mentais et je m'inventais des histoires pour paraitre la plus grande... comme les atre d'ailleurs!
Un jour la discussion s'est portée sur les sex-toys, que nous avions découvert auparavant dans un catalogue de vente par correspondance que je ne citerais pas! On a alors discuté de se mettre des légumes: comcombre, courgettes et autres ayant des formes phaliques. Ni une ni deux, le soir venu je farfouyillais dans le bac à légumes pour voir ce qu'il y avait. Les courses avaient dû etre faites quelques jours avant, puisqu'il ne restait plus qu'un demi radi noir et une petite clementine. Entre les deux, le choix fut rapide, et j'ai embarqué discretement la clementine, puis direction la chambre, pendant l'heure où je devais étudier.
J'ai commencé par me satisfaire à la main, en me depechant quand meme pour pouvoir essayer un maximum de chose avec ce fruit. En fait, les choix étaient restreints, et je me suis retrouvée, nues sous ma couette, les jambes relevés et écartés au maximum, la clementine dans une main et l'autre qui écartait au maximum mes lèvres intimes. La position était vraiment obscène, et quiconque serait rentré à ce moment dans ma chambre aurait tout de suite compris ce que je faisais, même avec la couette!
Le fruit n'était pas très gros, et pourtant j'ai eu du mal à le faire rentrer... le manque d'habitude sans doute puisqu'aujourd'hui je joue avec la taille au-dessus. Mais après m'être battue pendant quelques longues minutes, j'ai enfin réussi à la rentrer completement, sentant cette petite chose en moi. Ce que je n'avais pas prévu, c'est que mes tentatives d'insertion avaient un peu baissé mon excitation, et que mon vagin se recontractait petit à petit autour du fruit. La sensation était douce et agréable, et en faisant de simple petit mouvement, j'arrivais à produire des ondes de plaisir qui irradiaient tout mon corps.
J'ai pris mon pied comme cela quelques temps, jusqu'à la fin de "mon temps d'étude". C'était l'heure du passage à table. Le problème s'est alors posé: comment retiré cette clementine? En lubrifiant et en poussant, ça aurait surement marché, mais là, je n'avait rien sous la main, et pas vraimet e temps d'aller chercher de l'huile en cuisine puis de filer au toilettes, le tout sous le regard de ma mère.
La solution est venues d'elle même: je n'en avais pas! Il fallait que je garde cette petite boule orangé en moi jusqu'après le repas. Je me suis donc levé, et là ça a été terrible. Je sentais cette clementine, avec sa peau granuleuse, faire des va et vients pendant que je marchais. Après une dizaine de pas, j'avais mes premières suées, et je sentais l'excitation remonter. Heureusement, le salon, où nous dinions tous les soirs, était juste en bas des escaliers.
Avec d'infinies précatutions je suis descendue, tout doucement, avec de petits pas. En me voyant comme ça, ma mère m'a alors demandé ce qu'il y avait. J'avais honte, mais j'étais surtout heureuse que personne n'ait compris. J'ai prétexter des coliques, et je me suis installée à table, presque comme si de rien n'était. Le repas s'est passé, et comme chaque soir, mon petit frère mettais la table, je la débarassais et ma mère faisais la vaiselle.
Même "malade", je n'ai pas eu de traitement de faveur, et devant tout le monde, j'ai débarassé comme je pouvais. L'excitation est revenue, et avec elle j'ai sentit le fruit s'humidifier. Dans me hate de venir à table discretement, j'avais juste oublié de remettre ma culotte sous ma robe, et ma première idée fut que la clementine allait tomber devant mes parents, qui ne manqueraient pas de comprendre d'où!
J'ai donc contracté au maximum, augmentant la pression sur mes parois internes, et donc mon excitation. Je sentais ma mouille commencer à perler sur mes levres et mes cuisses. J'étais rouge de honte, extrement excité et courbaturée a à force de me contracter. Ne tenant plus, je me suis excusé et suis sortie de table, prétextant encore des colliques.
Encore ces escaliers à monter... et les suées qui revenaient, présageant que j'allais exploser de plaisir. J'ai juste eu le temps d'arriver dans la salle d'eau, de fermer la porte et de mordre dans un peignoir qui trainait pour étouffer mon cri.
J'ai alors remonté ma robe, écarté un peu mes jambes et la clementine est tombée dans un bruit humide, laissant le passage libre à mes secretions qui coulaient le long de mes jambes. Je suis resté assise le long de la porte un petit moment, avant de reprendre mes caresses à la main... m'ammenant encore jusqu'à un orgasme fulgurant.
Ce soir là, je suis redescendue regarder un peu la télé, et malgré la fait que je gigotait de temps à autre sur le canapé, personne n'a remarqué que j'avais remis la clementine en moi. Ce mélange d'exhibition et de pudeur devant mes parents me rendait folle, et il fallu encore que je me satisfase avant de pouvoir fermer les yeux.
Le lendemain, mes copines ne m'ont même pas cru! Et pourtant !
PS: Petit conseil pour les novices, renez un objet avec un anche, ou alors qui dépasse pour remplacer un gode, pas le premier truc que vous trouvez ! :)
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- : 15/01/2008
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- 17/11/1981
- Je suis une nympho, une épicurienne ou comme vous voulez. En bref, j'aime la vie, le sexe, et je compte partager ma passion !
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